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 aristole x the open boat

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MessageSujet: aristole x the open boat   aristole x the open boat EmptySam 31 Aoû - 22:52

aristole x the open boat 1567284805-1




Blue wings to lift me up (heartbeat stops, you lift me up)
Under the wire comes my love (heartbeat stops, you lift me up)
Blue wings to lift me up (heartbeat stops, you lift me up)
Under the wire comes my love (heartbeat stops, you lift me up)




aristole x the open boat 1567284808-2

18 ans ; étudiant ; français ; humain ; bisexuel
Neil Josten + The Foxhole Court


Trop grand pour être enfant, trop enfant pour être adulte. Toi, tu oscilles entre les deux. Tu aimes l’instant rebelle, ce que les gosses de ton âge font pour se prouver qu’il existe. Tu aimes le vent étalant vos rires, les brefs instants où tu as les pieds sur terre. Tu aimes le paraître, mais tu n’as jamais eu une gueule pour. Aristole, tu es défiguré, pris entre sourire et lâcheté. Aristole on te connais dévalant le bitume, jambe à ton cou, bientôt essoufflé. Tu as les mots durs, une franchise qu’on aime voir à ton âge et tu ne sais pas trop comment ne pas dire, te taire, laisser passer. Tu es dû genre à cogner, langue et poing fermé. Tu mords. Littéralement, tu mords, les dents en avant, logés dans la chair de l’ennemi : l’autre ne saurait écouter ton discours ou encore toi, fermes-tu tes oreilles. Mais la plupart du temps, tu es un fantôme. Artistole, tu as du mal à exprimer ce qui n’est pas franchise, tu as du mal à déloger de ta poitrine tes propres émotions, à les former en mots. Alors, tu ne parles pas de toi. Alors, tu es froid. Et on te reproche cela. Et toi, de tes maigres épaules, tu as l’impression qu’on t’en reproche trop. Alors, encore, toujours, tu fuis. Tes responsabilités ont la vie dure. Tu t’accroches.

D’une manière ou d’une autre, tu ne sais pas parler. Tu essaies et sur le bout de ta langue, tu as encore l’accent de ta patrie. Tu ne comprends pas l’ironie, le sarcasme venant des autres, mais tu t’attends à ce que les autres comprennent ce qui sort de ta bouche – l’identique de leurs propres mots. Tu pourrais presque être un enfant gâté, mais en dehors du reste, tu peux être sérieux. Tu aimes les enfants – tu leur fais peur. Tu aimes vivre et encore, tu es sans doute un bon ami, une bonne oreille. Tu es juste sans doute, inapte à parler comme eux, vivre comme eux, être un adulte. Et ça te fait peur. Parce que toi, tu aimerais être indépendant, toi, tu aimerais avoir un avenir sans que tu ne l’écrases du talon avant que tout cela n’ai pu commencer.
Mais tu fais peur, paraît-il : grande gueule, balafres, air neutre. On ne sait pas ce qui se passe par la tête – et toi non plus à vrai dire, tu n’en as aucune idée.

Tu es bon élève, dans les matières qui t’intéresses. Tu es du genre à faire tout à moitié pour ce qui concerne le reste, histoire de t’en sortir sans histoire. Tu ne brilles pas et tu ne cherches sans doute pas à le faire. Tu as peur (toujours) qu’on te prenne de haut. Alors, Aristole, tu les rabaisses d’un coup dans les genoux, ceux-là dont tu croises le regard. Et ça n’augmente pas ton facteur charisme ou bien encore cela ne fait que forger ta réputation. Tu ne peux pas t’en empêcher, comme si tu étais impulsif, comme si rien ne pouvait calmer la rage soudaine qui t’irrite.

à un accent français quand il parle anglais x mord ses potes quand il est trop ‘excité’ x pokerface x plutôt naïf x comprend pas grand chose quand il se passe des trucs x il aime bien lire x toujours dans des emmerdes, des bastons mais lui-même ne sait pas comment ça a commencé x parle (un peu) mal x trop franc x club insomniaque x donne des surnoms nazes parce qu’il a du mal à retenir les prénoms en entier




T'aurais pu être banal et tu ne l'as pas. Mais tu n'es pas beau. Le fait est que la première chose qu'on voit, ce sont les marques. Toi, tu rigoles et tu appelles ça "les marques du temps" ou peu importe, parce que tu détestes quand ils ont pitié. Tu es balafré : sur tes ossatures, les restants d'une vie, des cicatrices, des bouts d'avant. Et des fois, tu sais que la question brûle sur leurs lèvres : tu les laisses s'enflammer.
Tu es roux, aussi cela veut dire que tu as sans doute entendu les fameuses "insultes" des enfants lorsque tu étais encore très jeune. Cela ne t'a jamais dérangé. Cela dérangeait sans doute ta maîtresse lorsque l'auteur des mots finissait avec tes ongles plantés sans leurs bras. Cela a vite cessé pourtant, les mômes passent à autre chose. Et tu es resté roux.
Tu as l'ossature angéliques et les yeux bleu qui s'y accordent : on dit que tu es trop féminin ou pas assez ou quelque chose entre les deux. Mais tu t'en dis rien. Et encore, tu ne sais pas. Pour toi, oui, il n'y a dans ta grande carrure que les traces rouges qui ne sauraient être visibles.
Quelques fois, tu les caches, quelques fois, tu te dis que les pansements trop encore trop visible, tu ne sais pas. Tu n'as jamais cherché plus.
Tu es banal, sans doute. Ou tu tentes de l'être.

1m78 x roux x yeux bleu




Tu es né de deux parents aimants, tu crois. Tu n’as jamais été sûr si cela voulait dire qu’ils s’aimaient ou s’ils t’aimaient toi. Tu étais le second, une sœur ainé déjà sur le terrain prête à se faire voler la vedette. Donc, tu as vu le jour et tu as été nommé. On dit que c’est ta mère qui t’a nommé et tu n’as pas de mal à y croire. Toi, tu es Aristole. Et encore même, ton prénom ressors lorsqu’il effleure la langue des autres. Mais tu ne le détestes pas. Tu aurais du mal à le faire.
Ta sœur, une dizaine d’années d’écart. Ta sœur, tu ne te rappelles pas de sa jeunesse, de la vôtre ou bien quelques brides comme des bulles tentant de regagner la surface. Ta sœur, elle était turbulente. Tu l’as été aussi, plus tard – tu l’es encore. Tu te rappelles seulement de sa chevelure, du feu dans ses yeux, dans ses gestes et ses mots. Tu finiras comme elle, immolé par ce virus logeant dans votre poitrine. En attendant, jeune, tu deviens son ombre – elle brille. Toi, Aristole, tu es un enfant sage, tu es celui qui se fait bien voir. Tu tentes d’exceller en tout, tu rapportes les notes que tes parents ont toujours rêvé de voir affiché sur les copies de ta sœur, tu aides ta mère, toujours. Tu ne te rends pas compte déjà de sa condition, seulement que tu dois être aimé. Toi, petit, ton monde se défini seulement par la main de ton père caressant tes cheveux, par la silhouette de ta mère vaguant dans l’appartement que vous occupez alors.
Tu étais habitué à ne jamais voir ta mère – seulement des reflets, des bouts, des passages. Tu étais habitué à ne jamais l’entendre. Tu étais habitué à demander l’attention de ton père, persuadé que dans chaque maison habitait un fantôme similaire à celui de ta mère. Tu appris la réalité assez tard. Trop.
Et ta sœur, lorsque toi, enfin, tu fini par comprendre, étais déjà loin. Envolée, valise à la main, partie de votre belle France pour étudier, pour finir sa vie ailleurs, loin de vous.
Et lorsque la maladie finie par la hanter, elle, la maternelle, toi, tu fini par te révolter. Il y eu les premières crises, des bouts d’angoisses, la voix que tu n’avais jamais entendue marmonnant des choses incompréhensibles. Il y eu la folie s’installant dans la chambre voisine, les cris et toujours les brumes de ta naïveté. Elle ne se souviendrait jamais de toi. Toi, tu n’avais rien à te rappeler d’elle.
Ta seule manière de te faire remarquer perdue : ton père au chevet de ta mère, les félicitations identiques et sans âmes, tes notes ne pouvaient plus être celle qu’on désirait voir sur les devoirs de ta sœur. La lumière était partie et vous restiez à trois dans le noir.
Alors, oui, tu tentas d’exprimer ce que tu n’arrivais pas à comprendre, ce que tu comprenais à peine, vagues signaux de détresse ignorés par le père. Et tu deviens ta sœur, le feu dans les yeux, le feu impossible à éteindre, au secours les pompiers. Les notes ne descendirent jamais trop bas comme si tu avais peur de te lancer trop loin, trop fort. Mais les pulsions des débuts, celle-là qui était ressortie une ou deux fois, finirent par être ton quotidien. Tu séchas des cours, tu fumas très tôt, tu fini par trainer dans les rues et être de ceux-là, de ceux qu’on considère idiot, un brin m’as-tu-vu, coincé entre le bitume et les maisons du quartier d’en bas de chez toi.
Puis il y eut les premières bagarres comme si vous vous forgiez votre propre société, les premiers saignements de nez, les mâchoires presque brisés et les éraflures toujours gonflées. Il y eu les attentions de ton père revenues sous une autre forme : inquiétude, colère et gifles, toujours, lorsque tu rentrais trop tard, lorsque tu tâchais tes t-shirts su sang de tes « batailles », grande conquête de la rue d’à côté.
Et la seule fois qu’elle te vu, elle ne te reconnut pas. Qu’était-elle devenue ? Tu ne savais pas. Pour toi, elle n’était à présent, qu’un enfant perdu, un brin d’humain lâché dans un combat qu’elle ne pourra pas gagner – que tu ne pouvais pas non plus combattre à sa place. Alors, tu ne lui en voulus pas, jamais. Tu fus choqué, seulement pris de cours, les pensées perdues à leurs tours, écrasés par une peur que tu n’aurais su expliquer. Pour elle, tu n’étais à présent qu’un étranger, un danger sans sa propre maison. Et elle riposta avec tous ses moyens, toi, enfant, ennemis, démon, démence. Tu vous revois valser et plus rien, le sol disparaissant sous vos pieds.
Il fut décidé que tu resterais, le temps de guérir. Les mains de ton père parcourant ton visage, amour et tristesse que tu n’aimes revoir dans ses yeux – que tu vois à chaque fois qu’il pose ses yeux sur tes plaies. Il était arrivé trop tard ou encore t’as t’on dit que tu grattais, arrachait les croûtes, encore, encore. Et tu n’as jamais su expliquer. Alors, tu finis de grandir, quelques semaines, quelques mois. Elle ne hantait plus la maison lors de ton départ, déjà, tu savais qu’elle finirait ses jours ailleurs, dans un hôpital comme si enfin, on osait mettre un mot sur la maladie enfin installée dans son corps.
On t’envoya chez ta sœur.
Tu n’oses l’avouer sans doute, mais la rage que tu aurais pu ressentir déjà transformée en peur – depuis combien de temps avais-tu peur du spectre transformée en mère ? Trop longtemps. Et ton père ne pouvait plus t’élever, perdu entre les remords, le passé et un amour toujours présent.
Alors, tu atterris là. Tu appris à la connaître elle, le feu éteint, vous deux sous la lumière allumée de son salon.
Tu finirais par l’aimer.

aristole x the open boat 1567282118-3aristole x the open boat 1567282121-4

bjr moi je devais pas vous rejoindre mais dans ma grande folie j'ai suivi Damon la cascade. J'ai 0 sociabilité et j'ai plus peur de vous que je ne laisse paraitre plz m'abandonnez pas.
Aussi je sais pas écrire, je fais des fautes, des oublis et j'ai pas assez de deux yeux pour relire, pardonnez moi, vraiment.

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Dernière édition par Aristole Omnes le Dim 1 Sep - 0:56, édité 17 fois
Damon Waters
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MessageSujet: Re: aristole x the open boat   aristole x the open boat EmptySam 31 Aoû - 23:02

JTM FORT
BIENVENUE ♥♥♥ ♥ ♥ ♥♥♥
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MessageSujet: Re: aristole x the open boat   aristole x the open boat EmptySam 31 Aoû - 23:19

aristole x the open boat 449448207 !! l'aesthetic de ta fiche est super duper cute 😔 bienvenuuuue aristole x the open boat 4107912278
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MessageSujet: Re: aristole x the open boat   aristole x the open boat EmptyDim 1 Sep - 0:01

Damon ; aristole x the open boat 1574795027 hihi

Calem ; j’espère que tu aimes mon bibicode, j'ai tout mis dans mes pieds pour faire ma fiche (grande splendeur 2/10)
Mikkael G. Hansen
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MessageSujet: Re: aristole x the open boat   aristole x the open boat EmptyDim 1 Sep - 0:38

... 110%
Tell me you read the books please aristole x the open boat 849782923
MAIS AUSSI NON BIENVENUE TOÉ AVEC TON AVATAR DE NEIL ET CTE FICHe BG OUF.
On se fera un lien entre fox.
L. Athena Bottero
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MessageSujet: Re: aristole x the open boat   aristole x the open boat EmptyDim 1 Sep - 4:03

Bienvenue, ça sent l'aesthetic et le perso perf.
J'ai pas encore tout lu mais j'aime ta plume.

Amour.
Cattleya A. Taylor
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MessageSujet: Re: aristole x the open boat   aristole x the open boat EmptyDim 1 Sep - 4:59

l'aesthetic beaucoup trop soft et le perso beaucoup trop ANGSTY JE PLEURE quel bébé chou j'espère qu'il pourra être heureux à revelstoke aristole x the open boat 1691972600

j'ai rien à redire j'ai beaucoup aimé ta fiche alors!!

Un nouveau hooman nous a rejoint!
Bienvenue sur Hocus Pocus et félicitation pour avoir terminé la rédaction de ta fiche !

Avant de pouvoir commencer à RP, on va juste te demander d'aller te recenser, c'est obligatoire (sinon t'auras pas ta couleur èwé).

Après, tu pourras faire ce que tu veux. Histoire de te faire des potos et commencer à rp, on te conseille de commencer par
- Poster ta RS
- Poster ton téléphone
- Faire une demande de RP

Et surtout chill bien parmi nous, on est là pour ça, right ?

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